►Cheikh Martin Lings
Bibliographie de Martin Lings :
Croyances anciennes et superstitions modernes. Traduction de l’anglais par Jean Plantin, Patrick Jauffneau. Paroles 1988.
Le Prophète Muhammad , sa vie d’après les sources les plus anciennes. Traduction de l’anglais Jean-Louis Michon. Seuil 1986.
Un saint soufi du XXe siècle : le cheikh Ahmad Al Alawi, héritage et testament spirituel. Seuil 1990.
Le secret de Shakespeare. Paroles 1996.
- Le Livre de la certitude aux Editions Tasnîm.
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HOMMAGE
rendu au Cheikh Abū Bakr Sirāj al-Dīn: Martin Lings
Ce premier hommage, hommage posthume, paru dans le quotidien égyptien al-Ahrām, le 11 juin 2005, présenté et traduit par Tayeb Chouiref, a été rendu par Son Excellence le Cheikh ‘Alī Jum‘a, grand Muftī d’Egypte, lequel a très bien connu le Cheikh Abū Bakr et son œuvre.
« Un grand homme a quitté notre monde le jeudi 12 mai (2005) au matin, chez lui dans le Kent en Angleterre. Il fut enterré dans son jardin dont il s’était occupé la vie durant par amour pour les fleurs et la beauté. Il s’agit du Cheikh Martin Lings dont le nom en Islam est Abū Bakr Sirāj al-Dīn. Il naquit dans le Lancashire, en janvier 1909, dans une famille protestante. Ses parents l’aimèrent beaucoup et s’aperçurent, dès son enfance, de son intelligence et de sa sainteté également. C’est pourquoi ils ne s’opposèrent jamais à lui, pas même lorsqu’il entra en Islam.
Il passa sa prime enfance aux Etats-Unis où son père travaillait. De retour en Angleterre, il commença un cursus scolaire au Clifton College où ses qualités de leader devinrent manifestes. Il entra à l’Université d’Oxford en 1928 où il étudia la littérature anglaise auprès de C. S. Lewis qui trouva en lui un étudiant brillant dont il appréciait la compagnie. Après ses études, il enseigna la littérature anglaise en Lituanie.
Martin Lings avait deux amis qui partageaient sa quête de la Vérité. Le premier, nommé Paterson, lorsqu’il devint musulman, reçut le nom de Sīdī Hussayn Nūr al-Dīn. Il est enterré au cimetière mamelouk du Caire. Le second rejoint l’Islam par une autre voie et fut nommé Sīdī Dāwud. Il mourut en Angleterre. Dans un premier temps, Paterson se rendit en Chine à la recherche de la vérité et rencontra le Confucianisme alors que Lings, n’ayant pas trouvé dans le Catholicisme ce qu’il recherchait, décida de se rendre en Inde pour y étudier l’Hindouisme.
Lors d’un voyage en 1940, Lings rencontra l’intellectuel musulman d’origine française, René Guénon au Caire. Il s’agit de celui qui fut nommé Cheikh ‘Abd al-Wāhid Yahyā ; il mourut au Caire en 1950 où il est enterré près de l’ami de Lings, Sīdī Hussayn. Les enfants de René Guénon vivent encore aujourd’hui au Caire, que Dieu nous fasse bénéficier de leur présence. Martin Lings fut satisfait de sa rencontre avec Guénon et était déjà converti à l’Islam. Lorsque Paterson revint au Caire, il se convertit également. Il enseigna à l’Université du Caire alors nommé Fu’ād 1er. Paterson mourut quelques années plus tard d’une chute de cheval.
En 1944, Martin Lings se maria avec Lesley Smalley qui embrassa aussi l’Islam et reçut le nom de Rābi‘a. Elle vit toujours dans leur maison, dans la campagne du Kent après le départ de son époux dont elle partagea les idées pendant plus de soixante ans.
Lings vécut au Caire près des pyramides dans le village de Nazlat al-Samān jusqu’en 1952. Les vêtements traditionnels égyptiens qu’il a toujours portés étaient cousus par le Hājj ‘Āchūr qui était un saint parmi les Amis de Dieu, que Dieu leur accorde à tous Sa miséricorde. Sa boutique était installée à l’entrée de Khān al-Khalīlī. Lings aurait aimé passer toute sa vie au Caire s’il n’y avait eu des troubles politiques qui l’en empêchèrent. En effet, il y eut des manifestations contre les Anglais après la révolution de 1952 où trois de ses collègues à l’Université furent tués.
Le retour à Londres en 1952 fut difficile car la compétition universitaire réclamait plus qu’une simple expérience d’enseignement en Lituanie et en Egypte et il lui fallait obtenir un doctorat. C’est à ce moment que fut publié The Book of Certainty qu’il avait écrit en arabe alors qu’il était en Egypte sous le titre Kitāb al-yaqīn, al-madhhāb al-sūfī fī-l-īmān wa-l-kachf wa-l-‘irfān. Il obtint une licence d’arabe suivi d’un doctorat pour lequel il écrivit une thèse sur le cheikh al-‘Alawī, thèse qui fut publiée par la suite sous le titre Un Saint soufi du vingtième siècle. C’est un de ses livres dont l’influence fut la plus forte car il permet, de manière unique, d’aborder la spiritualité musulmane de l’intérieur.
En 1955, Lings obtint un poste au British Museum où il s’intéressa à la calligraphie coranique. Son livre, The Art of Quranic Calligraphy and Illumination fut publié par ‘‘The World of Islam Festival » en 1976 pour coïncider avec l’exposition de Londres.
Lings a passé les trente années qui suivirent à écrire pour son lectorat sans cesse croissant. Parmi ceux-ci : Muhammad : his life based on the earliest sources (1983) et Shakespeare in the light of the Sacred Art (1966) réédité en 1984 avec une introduction du Prince de Galles sous le titre The Secret of Shakespeare. Dans ce dernier livre, Lings examine les fondements traditionnels et l’héritage platonicien et scolastique de Shakespeare. Son livre The Art of Quranic Calligraphy and Illumination fut revu et édité en 2004 sous le titre Spendours of Quranic Calligraphy and Illumination. Son dernier livre devait être Mecca, publié en 2004, il est aujourd’hui suivi par A return to the Spirit qui est une publication posthume.
La rencontre entre René Guénon et Martin Lings eut une grande influence sur ce que l’on nomme l’Ecole traditionnelle (madrasat al-turāth) laquelle dénonce le matérialisme du monde moderne et lui oppose la sagesse présente au cœur de chaque religion révélée que ce soit l’Hindouisme, le Bouddhisme, le Judaïsme, le Christianisme ou l’Islam. Cette sagesse est la lumière primordiale (al-nūr al-fitrī) que Dieu plaça dans le cœur de chaque homme, lumière par laquelle les hommes peuvent rejoindre la Vérité :
« Tourne ta face en pur monothéiste (hanīf an) en direction de la Religion : telle est la nature originelle (fitra) selon laquelle Dieu a façonné les hommes. Nul ne peut changer la Création de Dieu. Telle est la Religion immuable mais la plupart des hommes sont dans l’ignorance. » (Cor. 30 : 30)
Martin Lings vécut dans la lumière de cette guidée jusqu’au terme de sa vie bénie. Son entrée en Islam se fit auprès d’un Suisse, le Cheikh ‘Īsā Nūr al-Dīn, lequel avait reçu l’Islam auprès du grand saint Algérien de Mostaghanem, le Cheikh al-‘Alawī dont la tarīqa est toujours vivante en Algérie et ses livres y sont régulièrement édités et largement diffusés.
Martin Lings avait un profond intérêt pour le symbolisme des couleurs, leurs significations et leur développement chez les Musulmans. Il écrivit dans son Spendours of Quranic Calligraphy and Illumination :
« La couleur, en tant que forme, était utilisée aux mêmes fins. L’or venait au premier rang et, après une courte période de fluctuations, vers le milieu du IV/X ème siècle, le bleu devint prééminent et l’emporta sur le vert et le rouge. Rapidement il devint aussi important que l’or en Orient musulman alors qu’au Maghreb le bleu resta en seconde position.
Si le bleu libère par ‘‘Infinitude », l’or, quant à lui, libère parce que, comme le soleil, il est un symbole de l’Esprit et donc, virtuellement, il transcende la monde des formes. L’or, par sa nature, échappe à la forme au point que le calligraphe doit entourer sa lettre de noir afin que sa forme apparaisse effectivement. En tant que couleur de la lumière, l’or, comme le jaune, est intrinsèquement un symbole de la connaissance. Le bleu en présence de l’or est alors la miséricorde qui tend à se révéler. »
Ce que nous avons cité est bien peu en face de l’œuvre immense de Martin Lings laquelle est et restera d’une grande portée dans un monde en totale confusion. C’est toutefois sa personnalité qui affecta si profondément ceux qui l’ont connu. C’est particulièrement le cas d’un grand nombre de jeunes gens qui ont reçu de sa part des conseils spirituels. Ils porteront cela en eux pour le reste de leur vie sachant qu’ils ne rencontreront plus son pareil. Que Dieu lui accorde Sa large miséricorde et qu’Il accorde à la communauté musulmane des hommes de sa qualité. Āmīn. »
Puisse cet article être, pour le plus grand nombre, l’occasion de découvrir ou d’approfondir l’œuvre de celui qui a permis à d’innombrables lecteurs (musulmans ou non) de mieux connaître et comprendre la biographie du Prophète.
Nous avons besoin d’étudier l’œuvre de ces grands hommes qui se sont convertis à l’Islam d’une manière qui confirme l’universalité de cette religion et son caractère approprié à toute époque et à tout lieu.
Ce deuxième hommage a été publié dans : www.soufisme.org/site/article.php3?id_article=38
Toute voie spirituelle est un chemin qui va du fini vers l’Infini, du temporel vers l’Eternel, de la lettre vers l’Esprit. Et pour nous amener au-delà de nous-même, une voie doit tout d’abord venir nous chercher à l’endroit même où nous nous trouvons, et nous prendre tels que nous sommes. Pour cette raison, on dit que les saints revêtent les habits de leur temps et ainsi l’enseignement des soufis a pu prendre à travers les siècles des formes très diverses, toujours en réponse aux besoins précis de ceux à qui il s’adressait.
Par exemple, autrefois, certains maîtres interdisaient à leurs disciples de consulter des ouvrages traitant de la spiritualité afin de leur rappeler que le soufisme est avant tout une saveur, que les mots ne peuvent qu’évoquer. Mais, s’il est vrai que la lecture peut parfois devenir un voile, elle peut aussi être un premier pas vers autre chose, une façon pour un individu d’exprimer sa soif et le moment venu, elle peut devenir le lieu d’une rencontre intime entre le voyageur et la vague qui l’emportera dans son reflux jusqu’à l’Océan infini …
C’est sans doute le pressentiment de cette rencontre qui pousse nombre d’occidentaux vers les livres traitant de spiritualité. En effet, notre civilisation aujourd’hui fortement médiatisée et ouverte sur toutes les traditions du monde a encouragé la diffusion d’ouvrages abordant sous différents aspects le soufisme. Ces ouvrages servent désormais de passerelle pour les occidentaux curieux de découvrir la sagesse d’une tradition qui jusque-là ne leur était pas du tout familière.
La plupart des européens qui ont pu découvrir le soufisme grâce au support écrit ont beaucoup appris grâce à l’œuvre de Martin Lings. Chez lui, l’exactitude historique, la richesse des sources, la clarté et la précision des explications doctrinales sont nourries par une compréhension intérieure de la voie. Martin Lings s’efface toujours derrière le sujet qu’il traite mais, s’il ne parle pas de sa propre expérience, c’est elle qui fait la valeur de ses écrits. On la perçoit au détour d’un mot ou d’une allusion comme le débordement soudain d’une ivresse qui devrait rester cachée. Ces deux phrases relevées dans son œuvre évoquent ce que la voie représente pour lui : « La voie spirituelle est une offrande. » « Le travail spirituel est surtout une accumulation de grâces. »
Martin Lings écrit dans cette démarche d’offrande et avec cette gratitude et c’est ce qui lui permet de nous faire goûter certains aspects très subtils de la spiritualité islamique.
Le Prophète de l’Islam avait coutume de dire : « Agis pour ce monde comme si tu devais y demeurer mille ans, et pour l’autre comme si tu devais mourir demain ! ».Cette recherche d’une double perfection, à la fois extérieure et intérieure, exige une profonde implication dans le monde en même temps qu’un détachement total. Dans la biographie qui lui est consacrée, Martin Lings, sait nous conter l’expérience intense que le Prophète a eu de la vie terrestre tout en soulignant son désintéressement à l’égard des biens de ce monde.
Nous apprenons que Muhammad fut successivement berger, marchand, ermite, exilé, soldat, législateur et enfin roi. Il fut aussi orphelin, longtemps époux d’une seule femme, fréquemment père d’enfants qui moururent en bas âge, veuf, et finalement mari de plusieurs femmes. Mais surtout en chaque instant de sa vie, en chaque geste, il fut serviteur de Dieu. Par exemple, lorsque la tribu des Quraysh (1) lui eut proposé la richesse et la royauté s’il acceptait de renoncer à son message, et que son oncle vint le supplier à son tour, il se tourne vers lui, les larmes aux yeux, et lui répondit : « Je le jure par Dieu, quand bien même ils mettraient le soleil dans ma main droite et la lune dans la main gauche pour qu’en retour j’abandonne cette cause, je ne l’abandonnerais pas avant qu’Il l’ait fait triompher ou que je sois mort pour elle ».
Afin d’illustrer cet aspect si caractéristique de la réalisation muhammadienne qui intègre parfaitement l’implication dans le monde et la conscience de l’au-delà, Martin Lins effectue un parallèle avec la révélation coranique. Le verbe-fait-livre vient, lui aussi, embrasser tous les aspects de la vie quotidienne, abordant des sujets qui semblent n’avoir rien de spirituel. Les descriptions du Paradis évoquent des jardins, des sources, des femmes merveilleusement belles…L’Islam, en tant que dernière révélation du cycle, est un retour à la religion primordiale et il doit réapprendre à l’homme à s’émerveiller devant le livre suprême : la nature. « Les sept cieux, la terre et tout ce qui s’y trouve célèbrent Ses louanges. Il n’y a rien qui ne célèbre Ses louanges. Mais vous ne comprenez pas leurs louanges » (II,44).
C’est parce que l’homme a perdu cette faculté d’émerveillement, parce qu’il perçoit la création à travers ses sens et son mental mais plus avec son cœur que les formes deviennent pour lui un voile. Seule la voie spirituelle peut amener l’homme à retrouver cette vision du cœur. En effet dans une sentence Dieu s’exprime : « Mon serviteur ne cesse de se rapprocher de Moi jusqu’à ce que Je l’aime, et lorsque Je l’aime, Je suis l’œil par lequel il voit… » Celui qui a atteint cet état perçoit alors l’Essence Divine en toute chose. C’est pour cela que lorsque les Quraysh demandent des miracles au Prophète, le Coran leur répond : « Ne considèrent-ils pas la façon dont les chameaux ont été créés ? Et la façon dont les cieux ont été élevés ? Et la façon dont les montagnes ont été établies ? Et la façon dont la terre à été étendue ? » (LXXXVIII, 17). Ainsi la réalisation la plus accomplie ne consiste donc pas à s’affranchir des lois de la nature pour accomplir toutes sortes de prodiges extraordinaires, mais au contraire à percevoir la Beauté et la Majesté Divines qui se manifestent à travers ces lois.
Le Prophète disait aussi à ses compagnons : « Abu Bakr(2) ne vous a pas dépassé par plus de prières ou de jeûnes, mais par quelque chose qui a pris place dans le fond de son cœur… » Et finalement, c’est à cette dimension du cœur que Martin Lings nous ouvre car il ne cherche pas à plaire, ni à convaincre et il ne se fie qu’à « la grâce de l’irrésistible pouvoir d’attraction de la vérité ».
Son œuvre pourra ainsi nous interroger, nous déranger ou même nous bouleverser afin de nous ébranler toujours un peu plus sur le terrain de nos certitudes. Et en fait les questions qu ‘il pose sont plus précieuses que les réponses qu’il donne car de ces questions peut naître une perplexité, une prise de conscience qu’il y a là quelque chose qui ne rentrera jamais dans les limites de notre entendement, quelque chose qui nous dépasse infiniment …
Cette perplexité est un passage incontournable dans toute quête de la connaissance car comme dit Ibn Ajiba, « Les plus éloignés de Dieu sont les savants par leur science et les dévots par leur dévotion ». L’œuvre de Martin Lings n’a pas pour vocation d’être une science de plus, au sujet d’un courant philosophique du passé ; elle nous ouvre une porte vers un chemin intérieur. Et ce chemin ne pourra jamais disparaître car il est ce qui donne tout son sens à l’existence humaine.
Il y a quelques années le cheikh al-‘Alaoui, un grand saint soufi du XXe siècle auquel Martin Lings consacra une remarquable biographie écrivait : « Amis, Si vous avez compris la vérité de mon état, la voie est là, devant vous. Suivez mes pas car, par Dieu ce ne sont pas choses douteuses ni vagues produits de l’imagination : je connais d’une connaissance à la fois secrète et manifeste, j’ai bu la coupe de l’amour et j’en ai eu la possession, elle est devenue mon bien pour toujours. »
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(1)- Les Quraysh constituaient alors la plus puissante tribu de La Mecque et furent longtemps hostiles au message délivré par le Prophète.
(2) Abu Bakr était un compagnon du Prophète de la première heure et était surnommé « le véridique » car ses actes et ses propos se révélaient être toujours d’une grande justesse. À la mort du Prophète, il devint le premier Calife de la communauté musulmane.

Martin Lings, Qu’Allah est son âme a su me faire connaître l plus belle des créatures qu’est notre prophète Bien aimé !!! Je recommande la biographie du prohète, paix et bénédiction sur lui, à toute personne désirant apprendre à connaiître sa vie.
Par ailleurs… pour rejoindre Cheikh Abū Bakr Sirāj al-Dīn, paix ait son âme …
S’il y’a bien quelque chose que j’ai réussi à retrouvé en rentrant dans la voie de l’Islam c’est effectivement cette lumière originelle au fond de mon coeur que je ravive chaque jour par la prière et l’appel de Notre Seigneur !!!
Dieu est dans le coeur de ses adorateurs sincères!
Salam Aleykoum,
Rendre hommage au Cheick Abû Bakr Siraj al-Din,-qu’Allah l’ait en Sa Miséricorde-, c’est remercier Allah pour Sa Lumière qui touche le coeur de qui Il veut. Hamduli’lah !
« Le Prophète Muhammad » (saws), sa vie d’après les sources les plus anciennes » (aux éditions du Seuil)
est effectivement une biographie à recommander vivement.
Que la Miséricorde et la Grâce d’Allah illuminent votre coeur. Amine.
Es Salamou aalakoum
Wa ALLAH’I BARIKOUM
DIEU bénisse ses serviteurs qui l’ont cherché et qui ont trouvé leur voie à travers notre Prophète bien aimé « Mohammed (S.A.W.S) ».
DIEU bénisse ces hommes de foi qui ont oeuvré pour la gloire de leur Seigneur, comme:
-Lings,Guénon,Schuon,Paterson wa Djmaain.
Wa aleykoum salam wa rahmatoullahi wa barakatouhou, frère ou soeur Anonyme !
Amîn à vos du’as chère soeur Nouchka.
Wa salam aleykoum wa rahmatoullahi wa barakatouhou.
Assalamou aleykoum,
Qu’Allah èléve le grade de Cheikh Abū Bakr Sirāj al-Dīn: Martin Lings dans l’au-delà, de ce 30 décembre 2008 jusqu’au jour ou l’ange soufflera dans la trompe. Amiiiiin !
Qu’il ait ensuite sa demeure éternelle dans la proximité de mon bien-aimé (notre bien-aimé) Mohamed, Prince de la création (P.S.L).
Amiiiin !
Wa aleykoum salam wa rahmatoullahi wa barakatahou chère soeur.
Amîn, amîn, amîn à vos du’as et qu’Allah vous octroie Sa Proximité. Amîn
wa salam.
Salam aleykum,
Un petit complément à votre bibliographie. Le Livre de la Certitude de Martin Lings vient de paraître aux éditions Tasnîm (l’ouvrage traite de la gnose et du symbolisme en Islam). 2 autres ouvrages du même auteur devrait paraître aux éditions Tasnîm.
Salam
Wa aleykoum salam sidi Abdel Nassir,
Barak’Allahoufik pour ce renseignement précieux que je vais, de ce pas, ajouter à la bibliographie. N’hésitez pas à venir nous donner le titre des deux autres ouvrages dès leur parution. Merci par avance.
Wa salam aleykoum.
Amin pour toutes vos duah!!AMIN